Abstract

The author states that the polymorphic nature of a painting comes to an abrupt end when an artist considers his work finished. He does not believe that any painting can be finished.

A complex labyrinthian painted structure may provide a basis for polymorphism in painting, which, in his case is intended to lead to a metaphysical or sacred comprehension of the world. He discusses examples of labyrinths he has made.

He believes that the development of continuously unfinished paintings may make fixed or frozen pictorial statements obsolete.

He discusses the idea of a center being a Seventh Direction of Space, which, in the case of a labyrinth, is the viewer, himself. Further, he states that his labyrinths proclaim an acknowledgment of the extraordinary, the mysterious and the supernatural, as they present themselves in the etymological vocabulary of visual language.

L’auteur énonce que la nature polymorphique d’un tableau prend fin brusquement lorsque l’artiste considère que son œuvre est terminée. Il ne croit pas d’ailleurs qu’une peinture soit jamais achevée.

Une structure peinte complexe de type labyrinthe peut fournir une base au polymorphisme en peinture, ce qui, dans le cas de l’auteur, doit conduire à une compréhension du monde métaphysique ou sacrée. Il expose et discutes des exemples de certains de ses labyrinthes.

A son avis, le développement de tableaux continuellement inachevés peut rendre désuets le témoignages picturaux fixes ou figés.

Il discute ensuite l’idée d’un centre qui serait une Septième Direction de l’Espace représentée, dans le cas du labyrinthe, par le spectateur lui-même. De plus, il pense que ses labyrinthes proclament l’existence de l’extraordinaire, du mystérieux et du surnaturel, d’après la manière dont ils se présentent eux-mêmes dans le vocabulaire étymologique du langage visuel.

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