Abstract

The purpose of this study is to analyze the progress of 14 Spanish-speaking learners of English during a period abroad from a longitudinal perspective. Oral and written data were collected three times during an academic year at a British university. These samples were analyzed in terms of fluency, syntactic complexity, lexical richness, and accuracy. The results of the statistical analyses indicate that, while a few months abroad might be sufficient for some gains in oral performance to occur, improvement in written production is slower and does not seem to take place until students have spent more than one semester abroad. In addition, it was observed that the type of interaction experienced abroad and some attitudinal features can partly explain language development in some areas.

Abstract

Le but de cette étude était d'analyser, dans une perspective longitudinale, les progrès de 14 apprenants d'anglais hispanophones au cours d'un séjour d'étude à l'étranger. Des données orales et écrites ont été récoltées à trois reprises au cours d'une année universitaire passée en Grande-Bretagne. L'échantillon ainsi recueilli a été analysé sous les angles de la fluidité, de la complexité syntaxique, de la richesse lexicale et de l'exactitude. Les statistiques obtenues montrent que si une période de quelques mois peut suffire à augmenter légèrement la performance à l'oral, l'amélioration de la production écrite est plus lente et ne semble pas se produire avant que les étudiants aient passé plus d'un trimestre à l'étranger. On a observé en outre que le type d'interaction avec les gens à l'étranger, ainsi que certains traits psychologiques peuvent expliquer partiellement le développement langagier observé dans certains domaines.

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