Abstract

Abstract:

Social disorganization theory and the routine activities approach have been extensively applied separately as theoretical frameworks for the spatial analysis of crime, with general support. As hypothetical explanations for complex social phenomena, criminological theories can impact how studies are framed and how the crime problem is approached. Thus, it is important to evaluate theories continuously in various geographical, as well as contemporary contexts. This study uses both theories in tandem to examine their ability to explain 2016 property crime in Vancouver, Canada, using 2016 census data. Both theories found moderate support. Of particular note is that all of the variables designated as proxies for ethnic heterogeneity in social disorganization theory were either not statistically significant or negative, consistent with the immigration and crime literature. Additionally, almost all variables, when statistically significant, were found to have consistent results across crime types. These results bode well for the continued use of social disorganization theory and the routine activity approach in spatial analyses of crime.

Résumé:

La théorie de la désorganisation socialeet l’approche des activités routinièresont été considérablement appliquées séparément en tant que cadres théoriques pour l’analyse spatiale du crime, et ce, avec soutien général. En tant qu’explications hypothétiquespour des phénomènes sociaux complexes, les théories en criminologie peuvent avoir un impact sur la manière dont les études sont conçues et la manière dont le problème du crime est approché. Ainsi, il est important de toujours évaluer les théories dans divers contextes géographiques et contemporains. Cette étude utilise les deux théories pour examiner leur capacité à expliquer le crime contre les biens en 2016 à Vancouver, au Canada, à l’aide de données de recensement de 2016. Les deux théories ont eu du soutien modéré. Il est particulièrement intéressant de noter que toutes les variables désignées comme étant des substitutions pour l’hétérogénéité ethnique dans la théorie de la désorganisation sociale soit n’étaient pas statistiquement significatives, soit étaient négatives, ce qui correspond aux recherches sur l’immigration et le crime. De plus, presque toutes les variables, lorsqu’elles étaientstatistiquement significatives, avaient des résultats uniformes, peu importe le type de crime. Ces résultatsaugurent bien pour l’utilisation continue de la théorie de la désorganisation socialeet l’approche des activités routinièresdans les analyses spatiales du crime.

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