Abstract

Abstract:

While the importance of Nietzsche to Barthes has long been recognized, with Barthes himself being the first to acknowledge it, this essay argues that Nietzsche's influence lies behind almost all of the major aspects of Barthes's mode of reading and writing in the 1970s, a mode that Barthes describes as 'active philology'. At the heart of this active philology is a cancellation of meaning that makes of Barthes's later critical practice a form of active nihilism in the Nietzschean sense. Exploring the various facets of this active philology in order to highlight the ways in which Barthes both follows and deviates from Nietzsche, this essay proposes an understanding of Barthes the active philologist as the incarnation of what Nietzsche terms the 'last nihilist'—and, crucially, one for whom any kind of Nietzschean overcoming of nihilism is anathema.

Résumé:

Tandis que l'importance de Nietzsche pour Barthes est bien connue, ce dernier étant le premier á la reconnaître, cet essai entend démontrer que l'influence de Nietzsche se vérifie en particulier dans les rapports que Barthes entretenait á l'écriture et á la lecture dans les années 1970, qu'il qualifie de 'philologie active'. Au coeur de cette philologie active, il y a une annulation du sens qui fait de la derniére pratique barthésienne de la critique une forme de nihilisme active au sens nietzschéen. En explorant les multiples facettes de cette philologie active, il est possible de mesurer les convergences et les écarts de Barthes par rapport á Nietzsche. Cet essai se propose de présenter Barthes comme l'incarnation de ce que Nietzsche appelait le 'dernier nihiliste' et de maniére cruciale, comme quelqu'un qui voulait éviter toute tentative nietzschéenne de dépassement du nihilisme.

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