Abstract

Abstract:

Using Ontario municipal expenditure and access to various technologies as an entry point, this article identifies several barriers to and limitations of studying the economics of policing in Canada. We explore several data sources, including the Police Administration Survey, Statistics Canada Census Program, the Uniform Crime Reporting Survey, and municipal and First Nations police service annual reports. We conclude that in an era of evidence-based policing, Canadian researchers and practitioners are unable to explore capital expenditure in any meaningful way because of restrictions on accessing detailed equipment information, as well as limitations of the existing Police Administration Survey. Further, several challenges are associated with identifying land area of jurisdiction and size of population served by municipal police services. Such challenges are heightened in those jurisdictions served by First Nations services.

Résumé:

En utilisant comme point d’entrée les dépenses municipales de l’Ontario et l’accès à différentes technologies, cet article identifie plusieurs obstacles à l’étude des paramètres économiques des services de police canadiens ainsi que ses limites. Nous explorons plusieurs sources de données, notamment l’Enquête sur l’administration policière, le Programme du recensement de Statistique Canada, le Programme de déclaration uniforme de la criminalité et les rapports annuels des services de police municipaux et des Premières nations. Nous avons conclu que, dans une ère de services de police basés sur des preuves, les chercheurs et intervenants canadiens sont incapables d’explorer la dépense de capital de manière significative à cause des restrictions sur l’accès à l’information détaillée sur l’équipement, ainsi que les limites de l’Enquête sur l’administration policière actuelle. De plus, plusieurs défis sont associés à l’identification du territoire couvert et de la taille de la population desservie par les services de police municipaux. Ces défis sont plus grands dans les territoires desservis par des services des Premières nations.

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