Abstract

This essay examines ways in which Catharine Parr Traill’s references to plants reveal her personal, philosophical, cultural, social, and moral views, while conveying her own conscious and unconscious feelings about the conflict involved in her position as a colonizing and colonized woman in the Canadian landscape. Traill’s references are introduced and contextualized through a discussion of examples of the plants and flowers described and used by the other “bush ladies”: Anna Jameson, Susanna Moodie, and Anne Langton.

Abstract:

Le présent article examine comment les références aux plantes de Catharine Parr Traill révèlent ses opinions personnelles, philosophiques, culturelles, sociales et morales ainsi que ses sentiments conscients et inconscients au sujet du conflit posé par sa situation de femme colonisante et colonisée au Canada. Les références de Mme Traill sont présentées et mises en contexte dans le cadre d’une discussion sur des exemples des plantes et fleurs décrites et utilisées par les autres « dames de la brousse »: Anna Jameson, Susanna Moodie et Anne Langton.

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