Abstract

Like British travellers on the Grand Tour or in the English Lake District, early nineteenth-century British explorers recorded their responses to nature partly in terms of the prevailing conventions of landscape appreciation — the Sublime and the Picturesque. While searching for a Northwest Passage, the four British officers of the second Franklin expedition compiled in their published writing and painting an aesthetic map for portions of the Canadian North. The practice of these aesthetic conventions helped to preserve the sojourning Britons’ sense of identity, but also promised a certain blindness to the unique northern environment.

Abstract:

Tout comme leurs compatriotes faisant le Grand Tour ou parcourant la région des lacs au nord-ouest de l’Angleterre, les explorateurs britanniques du début du dix-neuvième siècle notèrent en partie leurs réactions à la nature d’après les convenances dominantes dans l’estimation du paysage, à savoir le sublime et le pittoresque. En quête d’un passage Nord-Ouest, les quatre officiers britanniques de la seconde expédition Franklin dressèrent par leurs écrits et leurs tableaux un plan esthétique de certaines régions du Nord canadien. En recourant à ces convenances esthétiques, les Britanniques déplacés surent se tenir à leur sens d’identité tout en s’aveuglant par là même sur le milieu exceptionnel du Nord.

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