Abstract

A modest feature of Canada’s international cultural relations program is the set of six cultural agreements signed between 1965 and 1984. Detailed examination of the documents and the pattern of signatories reveals that they are intended primarily to assist in the conduct of foreign policy; they are not designed to pursue cultural policy objectives. The Applebaum-Hébert Committee was critical of cultural agreements, but evaluated them largely as potential contributors to Canadian cultural development. Explanations for this perception are considered since that discussion suggests that the nature and purpose of Canada’s cultural agreements are not widely understood.

Abstract:

L’ensemble de six accords culturels signés entre 1965 et 1984 n’est qu’un élément modeste du programme de relations culturelles internationales du Canada. Une analyse détaillée des documents et de la disposition des signataires révèle qu’ils sont destinés principalement à aider à conduire la politique étrangère plutôt qu’à viser des objectifs de politique culturelle. Le comité Applebaum-Hébert a critiqué les accords culturels, les considérant, quand même, pour la plupart, comme contributeurs éventuels au développement culturel du Canada. On considère ici des explications de cette perspective vu que la discussion citée semble indiquer que la nature et le but des accords culturels du Canada ne sont pas généralement compris.

pdf

Share