Abstract

Abstract:

Reading Michael Ignatieff’s Blood and Belonging and Myrna Kostash’s Bloodlines as intercultural translations of the same “originals,” the European sites both authors visit and write about, this article examines the differences characterizing these two authors’ practice of cultural criticism. Self-referentiality, the articulation of methodology, the dramatization of strategies of representation, narrative techniques – all these reflect the politics involved in intercultural translation.

Abstract:

Les questions qui reviennent le plus souvent dans les débats actuels sur le multiculturalisme traitent des problématiques de l’authenticité et du rapport entre l’identité individuelle et les identités collectives. Ce double questionnement se retrouve dans deux études récentes: Blood and Belonging de Michael Ignatieff et Bloodlines de Myrna Kostash. En raison de leurs liens au niveau thématique et intertextuel, ces deux ouvrages apportent un certain éclairage sur les politiques de l’authenticité et le dualisme des identités individuelles et collectives, Cet article vise à examiner deux questions en corrélation: les codes culturels et sociaux selon lesquels ces critiques culturels et ethniques fonctionnent et la façon dont leurs lectures et pratiques culturelles annoncent un rapport entre la diaspora et le tourisme. L’auteur étudie ce qui motive les études de ces critiques et la façon dont il et elle thématisent leurs différences ethniques tout en essayant de comprendre ce qui constitue ta non-authenticité des autres.

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