Abstract

In Lament for a Nation (1965), George Parkin Grant says that his lament for the disappearance of Canada as a sovereign country was “a celebration of memory,” in particular “the memory of that tenous hope that was the principle of my ancestors.” This essay examines this claim in relation to the political ideas of Grant’s grandfathers, Principal G.M. Grant of Queen’s University and Sir George Parkin, Secretary of the Rhodes Scholarships. Both were strongly committed to the ideal of imperial federation and believed that continued association with the British Empire was key to Canada’s survival as a nation in North America. The connection between the thought of Parkin and G.M. Grant is more clear if we examine Grant’s early work The Empire: Yes or No? (1945).

Abstract:

Dans Lament for a Nation, George Grant affirme que ses tribulations pour la disparition du Canada en tant que pays souverain était une « célébration de souvenir », plus particulièrement du « souvenir de cet espoir précaire qui était le principe de mes ancêtres ». Get article est une interprétation de ces mots basés sur un examen des idées politiques des grands-pères de Grant, le Principal Grant de « Queen’s » et Sir George Parkin, Secretaire des bourses de Rhodes. Les deux hommes ont été fortement dévoués à I’idéal de la fédération imperiale et ils ont cru que l’association continue avec l’empire britannique était nécessaire à la survie du Canada en tant que nation en Amérique du Nord. Le lien entre la pensée de Parkin et celle de G.M. Grant est plus évident si nous examinons les premiers travaux de Grant (1945) The Empire: Yes or No?

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