Abstract

The author points out that Bowditch in 1815 first discussed the striking curvilinear patterns produced by the graphical combination of two vibrations moving at right angles to each other. Similar patterns were described by Lissajous in 1857. Sophisticated electronic systems cannot create patterns which even remotely compare either in interest or in aesthetic appeal with those that can be formed by quite crude mechanical pendulum devices.

Two devices are described in detail: one with two pendulums with variable inclination of axes and one with a single pendulum provided with a perturbing pendulum. He shows examples of the kinds of patterns that they produce and how they depend on factors controllable by the operator.

The fact that it is not possible ever to reproduce the same pattern, even with the same device, is demonstrated by the author—thus each design can be copyrighted by an operator, if he is so inclined. The patterns obtained depend entirely on the skill and knowledge of the operator.

The growth of a pattern, he states, is fascinating to watch and can easily be photographed on ciné film with obvious application in film captioning and other fields.

L’auteur souligne que Bowditch fut le premier en 1815 à traiter des dessins curvilignes remarquables produits par la combinaison graphique de deux mouvements vibratoires formant un angle droit l’un avec l’autre. Des dessins similaires ont été décrits en 1857 par Lissajous. En fait, les systèmes électroniques les plus élaborés sont loins d’arriver à créer des dessins comparables en intérêt et en beauté à ceux que l’on forme à l’aide d’appareils mécaniques assez simples.

Deux appareils sont décrits d’une manière détaillée. L’un d’eux est composé de deux pendules dont l’axe présente une inclinaison variable. L’autre est formé d’un pendule auquel est suspendu un autre pendule plus petit qui perturbe le mouvement du premier. L’auteur donne des exemples des genres de dessins qu’ils permettent d’obtenir, et explique qu’ils dépendent de facteurs contrôlables par un opérateur.

L’auteur démontre qu’il n’est jamais possible de reproduire le même dessin, même si le même appareil est utilisé; de cette façon, chaque opérateur peut, s’il le désire, faire bréveter chacun des dessins qu’il obtient. Les dessins produits dépendent entièrement de l’habileté et du savoir de l’opérateur.

L’élaboration de ces dessins est un spectacle fascinant, qui peut facilement faire l’objet d’une prise de vues cinématographique. On peut les utiliser pour fournir un fond à un générique de film, par exemple, mais ils peuvent aussi s’appliquer à de nombreux autres domaines.

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