Abstract

This article presents results from a user study on experimental maps created for outdoor activities and demonstrates methods suitable for analyzing the map survey data. The first goal of the study was to find out to what degree the experimental maps created for the study satisfy the needs of map users in general. The second was a detailed exploration of opinions on the different map types to look for trends related to age, frequency of map use, or amount of time spent in nature. A third goal was to gauge interest and willingness to pay for experimental maps as printed products. In addition, the article demonstrates how cross-tabulation and correspondence analysis can be used to conduct versatile quantitative analysis and interpret map survey data. The survey results suggest that the conventional topographic-map-like products for outdoor activities currently offered by map publishers should be supplemented by new kinds of maps to attract and educate digital natives to become active map users. At the same time, the quality of information and representation of terrain accessibility on maps for outdoor activities must not be compromised simply to fulfil the broad-based needs of map users.

Cet article présente les résultats d’une étude réalisée par des utilisateurs sur des cartes expérimentales créées en vue d’activités de plein air et fait la démonstration de méthodes qui conviennent à l’analyse de données topographiques. Le premier but de l’étude était de découvrir dans quelle mesure les cartes créées pour l’étude répondaient aux besoins des utilisateurs de cartes en général. Le deuxième but était d’explorer en profondeur les opinions relatives aux différents types de cartes afin d’examiner les tendances en fonction de l’âge, de la fréquence de l’utilisation de la carte ou du temps passe dans la nature. Un troisième but était de mesurer l’intérêt envers des cartes expérimentales imprimées et de déterminer dans quelle mesure on était prêt à payer pour ces cartes. De plus, l’article montre comment la tabulation recoupée et l’analyse des correspondances peuvent servir à réaliser des analyses quantitatives polyvalentes et à interpréter les données topographiques. Selon les résultats de l’étude, il semble que les produits ressemblant à des cartes topographiques conventionnelles qu’offrent actuellement les éditeurs cartographiques pour les activités de plein air devraient être complétés par des cartes nouveau genre afin d’attirer et de renseigner les néophytes numériques pour en faire des utilisateurs actifs des cartes. Par contre, la qualité de l’information et de la representation de l’accessibilité du territoire sur les cartes destinées aux activités de plein air ne doit pas être sacrifiée dans le seul but de répondre aux besoins fort variés des utilisateurs des cartes.

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