Abstract

In a revised study of RIU 1533 G. Alföldy reemphasizes that the opening letters of the text refer to the Di Magni, a reading approved by other leading epigraphists, but proposes that these deities may have been worshipped at the strange temple with multiple naves recently found by J. Fisk. Templenses he now takes to be disciples of the cult, not temple personnel. To his commentary on this inscription Alföldy adds an analysis of the family of Mercator, reconstructing the names and stemma of the family. In republishing CIL III 3342 (RIU 1537) Alföldy suggests that several lines of the text could have been lost below the preserved wording and reiterates that the settlement at Tác cannot have been the focus of the provincial cult of Pannonia Inferior given that D. Fishwick has shown that the cult would have centred not on a temple but on an altar, perhaps that at Aquincum. Lastly Alföldy suggests that the temple of the Di Magni could have been the eccentric, newly unearthed temple (above) rather than the whole area sancta as conjectured by Fishwick.

Abstract

Dans une étude révisée de RIU 1533, G. Alföldy réaffirme que les premières lettres du texte correspondent aux Di Magni—une interprétation approuvée par d'autres épigraphistes éminents—mais propose que ces dieux puissent avoir été vénérés dans le curieux temple aux nefs multiples récemment mis au jour par J. Fisk. Il interprète alors les templenses comme étant les disciples du culte, et non le personnel du temple. En plus de son commentaire à cette inscription, Alföldy présente une analyse de la famille de Mercator dont il reconstitue les noms et le stemma familial. Dans sa réédition de CIL III 3342 (RIU 1537), il indique que plusieurs lignes du texte pourraient avoir été perdues au-dessous des mots préservés et il réitère que le site de Tác ne peut pas avoir été le foyer du culte provincial de la Pannonie inférieure, étant donné que D. Fishwick a montré que ce culte se déroulait sûrement, non pas dans un temple, mais sur un autel, peut-être celui à Aquincum. Finalement, Alföldy propose que le temple des Di Magni ait été le temple excentrique récemment découvert (voir ci-dessus) plutôt que l'area sancta en entier, comme l'avait supposé Fishwick.

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