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  • Mot du rédacteur en chef
  • Michael R. Veall

Changement d’équipe / remerciements – La revue Canadian Public Policy/Analyse de politiques, qui en est à son 42e volume annuel, est la principale revue canadienne du domaine des politiques publiques dont les articles sont évalués par des pairs. En septembre 2015, l’équipe de la rédaction a changé. J’ai l’honneur, en tant que rédacteur en chef, de succéder aux John Vander-kamp, Tony Scott, Ken Norrie, Nancy Olewiler, Charles Beach, Ken McKenzie, Jim Davies et Herb Emery. Je remercie tout particuliérement mon prédécesseur immédiat, Herb Emery : il a accompli un travail extraordinaire pour faire évoluer la revue, et il m’a beaucoup aidé durant la période de transition.

Nous témoignons également notre reconnaissance aux rédacteurs qui ont terminé leur mandat – Katherine Cuff (Économique, McMaster), Martial Foucault (Science politique, Sciences Po Paris), Steven Lehrer (School of Public Policy, Queen’s) et Kevin McQuillan (Sociologie, Calgary)–, et nous les remercions chaleureusement. Leurs remplaçants – Stephen Gordon (Économique, Laval), Peter Graefe (Science politique, McMaster), Tammy Schirle (Économique, Wilfrid Laurier) et Lisa Strohschein (Sociologie, Alberta)–, de même que le responsable des finances Robert Dimand (Économique, Brock), font déjà un travail remarquable. Olivier Lebert, qui occupe toujours son poste de responsable de la rédaction, reste l’un des piliers de la revue, et il a donc joué un rôle important durant la période de transition.

Nous ne remercierons également jamais assez de leur généreuse contribution les personnes qui évaluent les articles qui nous sont soumis.


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Tableau 1.

Facteurs d’impact annuels


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Tableau 2.

Facteurs d’impact, période de 5 ans

Enfin, nous remercions nos collégues de University of Toronto Press de leur apport à la revue : Carrie Macmillan (marketing), Antonia Pop (direction principale, revues), Lizzie Di Giacomo (édition) ainsi qu’Anne Marie Corrigan (ancienne vice-présidente, revues) à qui nous souhaitons la meilleure des retraites. Merci, également, aux gens du service des publications de la School [End Page 112] of Policy Studies de l’Université Queen’s, qui s’occupe de nos numéros spéciaux ; nous tenons particuliérement à souhaiter une merveilleuse retraite à Valerie Jarus, que plusieurs ont appréciée pendant les nombreuses années au cours desquelles elle a travaillé à la publication de revues de sciences sociales au Canada.

Qualité – La revue continue de publier environ le tiers des articles qui lui sont soumis. Comme le montre le tableau 1, le facteur d’impact de la revue (selon ISI Web of Science Journal Citation Reports) est passé de 0,269 il y a cinq ans à 0,625 aujourd’hui, et il dé-passe ainsi les facteurs d’impact de la Revue canadienne d’économique/Canadian Journal of Economics, de la Revue canadienne de science politique/Canadian Journal of Political Science et de la Revue canadienne de sociologie/Canadian Review of Sociology. Sur une période de cinq ans, le facteur d’impact est maintenant deuxiéme aprés celui de la Revue canadienne d’économique/Canadian Journal of Economics (tableau 2).

Même si cet outil de mesure n’est pas parfait, j’espére qu’il encouragera néanmoins les gestionnaires, dans les universités, à s’assurer que les articles publiés dans notre revue se voient attribuer l’importance qui leur revient quand il est question de titularisation, de promotions ou d’autres processus d’évaluation.

Rapidité – L’actualité de l’information est particuliérement importante pour une revue de politiques publiques. Le temps moyen qu’il faut avant qu’une premiére décision de publication dans notre revue soit prise est présentement de 70 jours, et nous faisons tout notre possible pour le faire baisser à 60 jours. Parmi les 12 articles de nos numéros de septembre et de décembre 2015, 5 ont été publiés moins de 6 mois aprés leur soumission. Nous continuerons de traiter le plus rapidement possible les textes que nous recevons, même si nous devons reconnaître que, dans certains cas, l’évaluation et la...

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