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  • Note de la rédactrice en chef
  • Natalia Aponiuk, Rédactrice en chef

Mes fonctions d’éditrice et rédactrice en chef du Canadian Ethnic Studies/Études ethniques au Canada vont bientôt prendre fin.

Comme plusieurs d’entre vous le savent, j’ai pris ma retraite de l’Université du Manitoba le 30 juin 2011, après y avoir œuvré pendant trente cinq ans dans l’enseignement, la recherche et l’administration. Ma faculté (Études allemandes et slaves) et le Centre des études canadiennes ukrainiennes (dont j’ai été la directrice pendant de nombreuses années) ont tenu en mon honneur le 9 septembre dernier une réception au cours de laquelle la faculté a annoncé la création d’une bourse à mon nom (la bourse de voyage d’étudiant Natalia Aponiuk pour étudier à l’é-tranger). J’ai été profondément touchée de l’hommage qui m’était ainsi rendu.

Il était probablement inévitable que tout ceci me mène à contempler pour la première fois depuis que je suis adulte une vie complètement libre de toute date limite et de tout horaire. Cependant les circonstances ont voulu que cette liberté ait dû attendre et que je continue encore mon travail de rédactrice en chef pendant cette dernière année.

Ce métier de rédactrice a été pour moi une expérience pleine d’enseignement. J’y ai découvert des domaines de recherche fort éloignés du mien; j’y ai rencontré—même si ce fut surtout via Internet—un grand nombre de gens intéressants que je n’aurais autrement jamais eu l’occasion de rencontrer. Et, bien sûr, je me suis grandement initiée aux subtilités de la rédaction et de l’édition. Bien que ce travail ait été très prenant, il en a largement valu la peine.

Je dois toute ma reconnaissance à bien des gens. En tout premier, je dois remercier le petit groupe que j’ai eu la chance de rassembler pour m’aider dans la publication de cette revue. Avant tout autre, je dois nommer mon assistante, Claire Hutchinson. Sa culture—une maîtrise d’anglais, son expérience de scénariste et des années d’expérience en finances à l’Université du Manitoba—l’ont qualifiée de manière unique pour faire face aux divers aspects du poste qu’elle a accepté d’occuper. Je lui suis aussi profondément reconnaissante de ses qualités personnelles, son sérieux, sa fiabilité, sa discrétion, et sa capacité à toujours mener à son terme le travail en cours. Je n’aurais certainement jamais pu remplir mes fonctions sans son aide. [End Page vii]

J’ai eu la chance de ‘trouver’ Jacqueline Barral, notre secrétaire de rédaction et traductrice, qui a consciencieusement veillé à ce que la revue garde un niveau de français des meilleurs, forgé par des années à l’enseigner, de travail éditorial littéraire et d’études de la littérature française au niveau du doctorat.

Je voudrais aussi remercier Rachelle Painchaud-Nash, qui a initié des changements subtils, mais significatifs dans la conception et la présentation de la revue.

Toutes les trois se sont consacrées à veiller que chaque numéro de la revue soit de la plus haute qualité à tous les niveaux.

Les étudiants que nous avons pu engager grâce à divers programmes de travail/études nous ont aussi été d’un grand secours.

À l’Université du Manitoba, je suis particulièrement redevable au Dr Richard Sigurdson qui, en tant que doyen de la Faculté des arts, s’est révélé un fervent défenseur de la revue.

Je voudrais de même remercier tous les membres du conseil éditorial de la revue pour lui avoir apporté leur appui et pour m’avoir soutenu personnellement. Tous y ont largement contribué en écrivant des articles et des recensions, fait des comptes-rendus, suggéré des réviseurs, recueilli des fonds, offert des avis et des suggestions, et de bien d’autres manières. Ce fut un plaisir de travailler avec vous.

Finalement, je voudrais remercier tous les contributeurs qui nous ont soumis des articles...

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