formation des enseignants inuit et des Premières Nations, La: Problématiques et pistes d'action

Remerciements

REMERCIEMENTS La publication de cet ouvrage est le fruit de la collaboration de nombreuses personnes ainsi que d’entités institutionnelles. Nous tenons à les remercier de leur généreuse contribution qui nous permet d’introduire la question de la formation des enseignants inuit et des Premières Nations dans l’univers discursif et pratique de la formation des enseignants. Plusieurs personnes ont accepté d’évaluer les textes soumis. Nous remercions chaleureusement Marta Anadón, Université du Québec à­ Chicoutimi (UQAC) et Universidad Nacional de Rio Negro (Argentine) ; Lily Bacon, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) ; Évelyne Charlier, Facultés universitaires Notre-Dame de la paix de Namur (FUNDP) ; Sandra Coulombe, UQAC ; Christine Couture, UQAC ; Louis-Jacques Dorais, Université Laval ; Zita De Koninck, Université Laval ; François Guillemette, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) ; Raymond P. Hébert, UQAT ; Corneille Kazadi, UQTR ; Jacques Kurtness, Centre interuniversitaire d’études et de recherches autochtones, et réseau DIALOG ; Daniel Martin, UQAT ; Mirela Moldoveanu, ­ Université de Sherbrooke ; Nicole Monney, UQAC ; Joëlle Morrissette, Université de Montréal ; Christiane Pilote, UQAC ; François Ruph, UQAT ; et Suzanne Vincent, Université Laval. Nous remercions nos institutions respectives, l’UQAC et le Centre Nikanite ainsi que l’UQAT, de leur soutien professionnel et technique, sans lequel la production de cet ouvrage n’aurait pu se concrétiser. Nous remercions également les professeurs-chercheurs, les étudiants gradués et le personnel du Centre interuniversitaire d’études et de recherches autochtones (CIÉRA), ainsi que du réseau DIALOG (Institut national de la recherche scientifique [INRS], sciences et cultures) dont les activités ont soutenu de près ou de loin le travail de mise au jour des questions introduites ci-après. Nous tenons également à mentionner le soutien du programme Réalités autochtones du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) au­ développement d’une recherche collaborative sur la question. Finalement, cet ouvrage n’aurait pu voir le jour sans le soutien indéfectible de Véronique Paul, qui a accompli un travail de coordination dont nous lui sommes grandement redevables. ...