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501 de l’Ontario français récit, l’auteur met en parallèle la vie et l’œuvre du sculpteur avec celles des artistes du Moyen Âge et des grands maîtres de la Renaissance française et italienne. La deuxième partie de l’ouvrage comprend neuf chapitres et présente un collage d’information complémentaire puisé à diverses sources. Aussi, le deuxième chapitre rassemble des extraits d’articles de journaux et de revues sur la vie et l’œuvre de Jobin par Damase Potvin, RobertAyre, Dollard Morin, etc. ; des souvenirs recueillis du statuaire sur ses pairs comme Octave Morel, Léandre Parent, JeanBaptiste Côté, Laurent Moisan, etc. ; la liste des apprentis de François-Xavier Berlinguet, ingénieur-architecte et une autre biographie de Jobin, sommaire celle-là. Suivent dans l’ordre, une bibliographie, la transcription des cahiers de comptes de 1913 à 1925 ; les relevés des statues de Louis Jobin aux églises de Saint-Henri de Lévis et de la Rivière-du-Loup ; un aperçu de ses ouvrages dispersés « ça et là » au Canada français et en Amérique ; la description des « specimens » achetés de Louis Jobin par l’auteur pour le Musée National à Ottawa et l’inventaire des objets sculptés dans sa boutique en 1925. Le dernier chapitre comprend trente-cinq illustrations, dont trente photographies vouées à la production de Jobin, deux du statuaire dans son atelier et une de la vue extérieure de l’atelier. Enfin, deux dessins d’Arthur Lismer, dont la reprise de l’illustration de la page couverture et un croquis de l’île d’Orléans, complètent la documentation figurée. Cette biographie est la plus complète à ce jour du sculpteur traditionnel. ANNE-MARIE POULIN Louis-Joseph Béliveau et la vie littéraire de son temps. Suivi d’un Album-souvenir par l’École littéraire de Montréal. Par Paul Wyczynski. [Montréal], Fides, [c1984], 189 p. Tableau, photos, table. (12,5 x 15,2 cm) R En deux parties, ce livre fait état de la vie de Louis-Joseph Béliveau (1874-1960), de son œuvre et de ses contemporains. Disposé sur deux colonnes, le texte contient plusieurs documents de l’époque, tels des photos, des signatures et des poèmes. Dans la première partie (« Sur les traces d’un homme de lettres »), l’auteur présente le profil de l’homme, « le libraire », « le journaliste » et « l’écrivain ». Les écrits de Béliveau y sont également reproduits, soit sa poésie rédigée dans son carnet « Naïveté et premières erreurs », ses « derniers poèmes », et sa prose publiée dans Le Monde illustré et La Feuille d’érable de FallRiver . La deuxième partie consiste en un « albumsouvenir offert en cadeau de noces par les membres de l’École littéraire de Montréal à LouisJoseph Béliveau ». Une courte biographie des auteurs – Albert Ferland, Jean Charbonneau, Arthur de Bussières, Émile Nelligan, Gustave Comte, Georges-Alphonse Dumont, ÉdouardZotique Massicotte, Henry Desjardins, Germain Beaulieu et Pierre Bédard –, les amis de Béliveau, est proposée avant de présenter leur poésie offerte à M. et Mme Béliveau (Bernadette Archambault) à l’occasion de leur mariage, le 21 septembre 1897. DÉOF Loup de Lafontaine (Le). Par Thomas Marchildon. Sudbury, Société historique du Nouvel-Ontario, « Documents historiques » 29, 1955, 39 p. Illustrations. (1 photographie) (13,7 x 20,9 cm) A/S Cet ouvrage rapporte des événements, réels et fictifs, qui ont conduit à la mort d’un loup qui terrorisait les habitants du village de Lafontaine. Le premier chapitre traite de Joseph Lortie, un ivrogne qui a aperçu le loup devant sa demeure, un fait que personne n’a cru. Dans le deuxième chapitre, Colbert Tessier fusille les deux chiens de François Labatte, soupçonnés de la mort de ses moutons, ne sachant pas que le loup en était responsable. Ensuite, on voit le loup qui déjoue les meilleurs chasseurs et on finit par croire qu’il est possédé du diable.Au quatrième chapitre, des enfants affirment avoir joué avec le loup et un jeune garçon nommé Thomas s’égare dans le bois. Le cinquième chapitre montre un père désapprouvant le jeune homme fréquenté par sa fille et tentant de le faire passer pour une « poule mouill ée ». Le père pousse son fils à se...

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