Abstract

Abstract:

Nous examinons deux réformes possibles au programme d'aide financière aux études: une réduction de la contribution étudiante ou une augmentation du seuil de revenu à partir duquel cette contribution s'applique. Nous présentons une analyse théorique et empirique des deux options. Nous montrons que toutes les deux réduisent les incitatifs au travail, bien que la réduction de la contribution étudiante ait moins d'impact. La réduction de la contribution étudiante cible davantage ceux dans le besoin, bien qu'elle accorde trop d'aide aux étudiants à revenu trop élevé. Nous estimons ainsi que la réduction de la contribution étudiante, si elle est limitée à un intervalle approprié de revenu, pourrait être la plus sensée.

Abstract:

We examine two ways through which student financial aid can be reformed: a cut in the rate at which the aid is clawed back with earned income or an increase in the threshold at which this clawback applies. We present a theoretical and empirical analysis of these options. We show that both reduce incentives to work, although the clawback rate does so less. Cuts to clawbacks also deliver a bigger boost to financial aid for those most in need, although they may benefit students higher in the income distribution. We argue that governments might consider a policy that reduces clawback rates, but within a reasonable range of earned income.

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