Abstract

ABSTRACT/RÉSUMÉ:

Cet article revient sur quelques textes récents de Leslie Kaplan – et tout particulièrement Mathias et la Révolution (2016) – pour s'interroger sur ce qui reste de la puissance émancipatrice de la littérature à notre époque. Au-delà de l'enjeu mémoriel que représente Mai 68 et, plus largement, la reprise du grand récit révolutionnaire, il s'agit ici de montrer que la question de que ce peut encore l'écriture repose chez Kaplan sur une pratique à première vue paradoxale du lieu commun.

pdf

Share