Abstract

Abstract:

We empirically evaluate the distribution of spatial patterns at the census tract (CT) level for various immigration and property crime measures in Vancouver, British Columbia, 2003 and 2016, using a spatial point pattern test that identifies significant similarities, or otherwise, in the spatial patterns of (a) multiple measures of immigration, (b) various property crime classifications, and (c) immigration and crime patterns together. Results show local-level variations in the spatial concentration of immigration in Vancouver CTs. The use of multiple measures of immigration showed substantive variations of immigrant settlement at the local level. Moreover, results reveal that while immigrant concentration patterns are stable over time and, thus, demonstrate ecological stability, property crime patterns shift from year to year. The spatial analytic approach utilized in this study provides support for the use of local-level spatial models and the multidimensional operationalization of the immigration variable even when their correlations are high. There is heterogeneity among immigrant groups, an important yet often overlooked aspect in assessments of immigration effects on crime.

Résumé:

Nous évaluons de manière empirique la distribution de motifs spatiaux dans les secteur de recensement (SR) pour diverses mesures d'immigration et de crimes contre les biens à Vancouver, en Colombie-Britannique, en 2003 et 2016. Nous utilisons une analyse de second ordre de la structure spatiale de points, laquelle identifie les similitudes importantes, ou non, dans les structures spatiales de (a) de multiples mesures d'immigration, (b) diverses classifications des crimes contre les biens et (c) les motifs d'immigration et de crime mis ensemble. Les résultats montrent des variations au niveau local dans la concentration spatiale de l'immigration dans les SR de Vancouver. L'utilisation de multiples mesures d'immigration a montré d'importantes variations d'établissement des immigrants au niveau local. De plus, les résultats dévoilent que, bien que les motifs de concentration de l'immigration soient stables à travers le temps, montrant ainsi une stabilité écologique, les motifs de crimes contre les biens changent d'année en année. L'approche analytique spatiale utilisée dans cette étude soutient l'utilisation de modèles spatiaux au niveau local et l'opérationnalisation multidimensionnelle de la variable d'immigration même lorsque leurs corrélations sont élevées. Il y a une hétérogénéité parmi les groupes d'immigrants, un aspect important, même s'il est souvent ignoré, de l'évaluation des effets de l'immigration sur le crime.

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