Abstract

Abstract:

L’association auteure-traducteur que forment depuis une trentaine d’années Maryse Condé et son époux Richard Philcox connaît un succès remarquable. Malgré “l’intraduisibilité” de son contexte antillais, l’univers condéen s’ouvre au public anglophone par un passage interlinguistique fascinant. Le lecteur retrouve le même métissage de codes dans les traductions de Philcox que dans le texte-source. Cette étude examine la variation lexicale dans Who Slashed Celanire’s Throat (2004), The Story of the Cannibal Woman (2007) et Victoire: My Mother’s Mother (2010), où des résonances anglo-américaines et britanniques viennent s’ajouter aux voix française et créole.

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