Abstract

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Au cours des vingt dernières années, la Première Guerre mondiale est revenue sur le devant de la scène littéraire et cinématographique. Oubliée, et même parfois refoulée, elle remonte à la surface après la disparition du dernier poilu. La mémoire se libère et remet en cause le silence d’aprèsguerre. C’est à travers le film de Bertrand Tavernier, La vie et rien d’autre, et celui de Jean-Pierre Jeunet, Un long dimanche de fiançailles (inspiré du roman de Sébastien Japrisot), que cet article développe le thème de l’amnésie nationale dont la France semble avoir été frappée dans les années 1920.

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