Abstract

Abstract:

La destruction d'Hiroshima est condamnée en France par nombre d'intellectuels. Mais deux voix vont s'élever de la façon la plus véhémente, quoique de manière très différente: celle d'Albert Camus "à chaud", dans un éditorial empreint d'ironie qui tire la sirène d'alarme, et celle de Marguerite Duras "à froid", au moyen d'une histoire d'amour qui cherche à sensibiliser l'opinion sur les effets dévastateurs de la bombe atomique. Nous allons développer le cri d'angoisse de ces auteurs pour alerter le monde sur les dangers de l'arme nucléaire, mais aussi la manière par laquelle ils dénoncent l'emploi de la bombe atomique sur Hiroshima.

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