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The (In)visibility of Academic Librarians in the Cyclical Program Review Process: A Corpus-Based Study of Two Ontario Universities / La visibilité (ou l’invisibilité) des bibliothécaires universitaires dans le processus cyclique d’évaluation des programmes : une étude basée sur le corpus de deux universités ontariennes
- Canadian Journal of Information and Library Science
- University of Toronto Press
- Volume 43, Number 1, 2019
- pp. 66-95
- Article
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Abstract:
The library is often referred to as the heart of a university, but numerous studies reveal that librarians perceive that they are sidelined in the academic program review process, even though library resources and services would seem to be important to program quality. Using a corpus-based approach, we investigate six documents associated with the program review process for 10 graduate programs at two Ontario universities. These more objective results confirm the perception-based findings of other studies and lead us to consider what is at the root of the problem: is it a gap between faculty and librarians or could it be a more general disengagement of faculty with quality assurance processes in higher education? We end with some recommendations for ways in which librarians can become more meaningfully involved in academic program review.
Résumé:
La bibliothèque est souvent considérée comme le cœur d’une université. Pourtant de nombreuses études révèlent que les bibliothécaires se sentent mis de côté dans le processus d’évaluation des programmes universitaires, même si la qualité des ressources et des services de la bibliothèque sont jugés importants pour les programmes. En utilisant une approche basée sur le corpus, nous étudions six documents associés au processus d’évaluation des programmes dans dix programmes d’études supérieures enseignés dans deux universités de l’Ontario. Ces résultats plus objectifs confirment les résultats fondés sur la perception obtenus dans d’autres études et nous amènent à considérer ce qui est à l’origine du problème : s’agit-il d’un fossé entre le corps professoral et les bibliothécaires, ou pourrait-il s’agir d’un désengagement plus général du corps professoral à l’égard des processus d’assurance de la qualité dans l’enseignement supérieur ? Nous terminons par quelques recommandations sur les moyens par lesquels les bibliothécaires peuvent s’impliquer de manière plus significative dans l’examen des programmes universitaires.