Abstract

ABSTRACT:

Through decreasing hardware costs and novel areas of application, three-dimensional (3D) printing has become exceedingly popular in recent years. Starting with a project focused on public education about urban hydrology, we explored the use of 3D-printed landscape models in a number of regional applications. We also experimented with the use of 3D-printed city models to engage users through urban visualization. Our goal was to examine the role of GIS in processing geospatial data for 3D printing and to explore novel applications in physical and urban geography education and outreach. Following a brief review of related literature, this article outlines data sources for digital elevation models, boundary datasets, and building footprints with height information and the processes used to transform these into 3D-printable data files. We then describe applications focused on urban watersheds and landforms in the area of Toronto, Canada, and illustrate city models for neighbourhoods of Toronto. We found that the 3D models were favourably received by diverse types of users, from hydrology experts to environmental studies students to the general public. The overwhelmingly positive feedback generated by this project suggests that 3D-printed landscape and city models are a worthwhile strategy for improving physical and urban geography education and outreach.

RÉSUMÉ:

Grâce à la diminution des coûts du matériel et à ses nouveaux domaines d'application, l'impression en trois dimensions (3D) a considérablement gagné en popularité depuis quelques années. À partir d'un projet axé sur l'initiation du public à l'hydrologie urbaine, les auteurs explorent l'utilisation des maquettes de paysages imprimées en 3D dans de multiples applications régionales. Ils expérimentent également le recours aux maquettes urbaines imprimées en 3D pour faciliter aux utilisateurs la visualisation des paysages urbains. Leur but consiste à étudier le rôle des SIG dans le traitement des données géospatiales pour l'impression en 3D et à explorer de nouvelles applications de formation et de diffusion des connaissances en géographie physique et urbaine. Après une brève recension des écrits pertinents, les auteurs décrivent les sources de données pour les modèles altimétriques numériques, les ensembles de données géospatiales et les empreintes de bâtiments accompagnées de données sur l'altitude, ainsi que les processus utilisés pour transformer cette information en fichiers de données imprimables en 3D. Ils décrivent ensuite des applications portant sur les bassins hydrographiques et les reliefs urbains dans la région de Toronto (Canada) et illustrent des modèles urbains de quartiers de Toronto. Ils constatent que les modèles en 3D sont favorablement accueillis par divers types d'utilisateurs, qu'il s'agisse d'experts en hydrologie, d'étudiants de programmes de formation en environnement ou du grand public. Les commentaires très majoritairement positifs suscités par ce projet semblent indiquer que le recours aux maquettes de paysages et aux maquettes urbaines imprimées en 3D est une stratégie intéressante pour améliorer la formation et la diffusion des connaissances en géographie physique et urbaine.

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