Abstract

Abstract:

Through a mutual interview exchange, the authors reflect on two recent commercial films – The Promise and The Lost City of Z. The films deal with the Armenian genocide and British exploration of the Amazon, respectively, both chronicling events that took place in the early twentieth century. The authors' inquiries address questions of diasporic imperialism through film, Othering, violence, and the US movie industry. While differing in their readings and opinions of the films, the authors argue that both movies reflect contemporary US fantasies and preoccupations, and that commercial cinema – and pop culture in the Global North more broadly – ought to be taken more seriously by anthropologists.

Résumé:

Dans le cadre d'une interview réciproque, les auteures examinent deux films commerciaux récents : The Promise et The Lost City of Z. Ces films traitent respectivement du génocide arménien et de l'exploration britannique de l'Amazonie, relatant tous deux des événements qui ont eu lieu au début du XXe siècle. Les auteures abordent les questions de l'impérialisme diasporique par le cinéma, l'altérisation, la violence et l'industrie cinématographique américaine. Bien qu'elles en fassent des lectures et des critiques différentes, les deux films reflètent selon elles les préoccupations et les fantasmes américains contemporains. Les auteures soutiennent en outre que le cinéma commercial – et plus largement la culture populaire (pop culture) dans le Nord global – devraient être davantage pris en compte par les anthropologues.

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