Abstract

Abstract:

The Nepali-Canadian Living Standards Survey is collaborative research that assesses the economic and social incorporation of newly immigrated Nepalese into Canada. The study is based on survey interviews with sixty-two Nepali households in the Greater Toronto Area, conducted between November 2015 and April 2016. In this paper, we show that those who have immigrated from Nepal since 2012 are still struggling to find work commensurate with their expectations and their overall high human capital. The persistence of single income families, and a lack of female participation in the labour force, appear to be factors in this struggle. Those who have migrated earlier, however, report that they are more firmly anchored, both economically and socially, in the Canadian middle class, even though they continue to lag behind the native-born population. Both groups reported a high degree of investment in their children's education. The study suggests that policy makers find resources for retraining current immigrants who are attempting to secure better employment, including provisions for early childcare. Finally, Nepali-Canadian voluntary organizations are encouraged to pursue these same goals, both with levels of government and with each other.

Résumé:

Le sondage népalais sur les niveaux de vie au Canada est une recherche collaborative qui évalue l'incorporation économique et sociale des Népalais nouvellement immigrés au Canada. L'étude est basée sur des entrevues menées entre novembre 2015 et avril 2016 auprès de soixante-deux ménages népalais dans la région de Toronto et ses environs. Nous démontrons dans cet article que, ceux qui ont immigré du Népal depuis 2012 se déploient encore pour trouver un travail à la hauteur de leurs attentes malgré leur capital humain généralement élevé. La persistance des familles à revenu unique et le manque de participation féminine sur le marché du travail semblent être un facteur dans ce combat de survie. Cependant, ceux qui ont immigré plus tôt affirment qu'ils sont plus solidement intégrés, tant sur le plan économique que social, dans la classe moyenne canadienne, même s'ils continuent d'être à la traîne par rapport à la population née au pays. Les deux groupes ont signalé un fort degré d'investissement dans l'éducation de leurs enfants. L'étude suggère que les décideurs trouvent des ressources pour la reconversion des immigrants actuels qui cherchent à obtenir un meilleur emploi, y compris des dispositions pour la garde des jeunes enfants. Enfin, les organisations bénévoles népalaises et canadiennes sont encouragées à poursuivre ces mêmes objectifs, à la fois avec les gouvernements et entre eux-mêmes.

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