Abstract

Abstract:

La rapidité du "progrès" à l'île Maurice fait écho à la surpêche, à la destruction du lagon, à la pollution acoustique tandis que le gouvernement, dont les moyens sont limités, se tourne vers l'éducation, les soins de santé et les plans de retraite. L'environnement pâtit de cette situation, et ce sont les instances sociales qui réagissent d'abord aux spoliations de la nature. Une approche écocritique, tenant compte des réflexions de Lucien Sfez sur les utopies, nous permettra d'analyser la représentation de l'environnement chez les auteurs mauriciens pour déterminer de quelle façon la littérature se penche sur les problèmes auxquels la nation fait face.

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