Abstract

This essay traces some aspects of the development of P.K. Page (1916–) Canadian poet, writer and visual artist, from her early childhood up to 1944 when she received the Oscar Blumenthal Award for excellence from Poetry (Chicago). It draws upon unpublished letters, photographs, poems and interviews to show that the adolescent Page was exposed to English modernism, especially art and literature in 1934–1935. She read Virginia Woolf and Katherine Mansfield whose feminist and aesthetic concerns inform the progress of some of her early poems and a novella, The Sun and the Moon. Subsequently, in the early 1940s, Page developed a more impersonal poetry in response to T.S. Eliot’s objective correlative. The influence of her own early poetry and prose on later writers like Margaret Atwood is briefly indicated.

Abstract:

Cet essai retrace certains aspects du cheminement de P.K. Page (1916–) poète, auteur et artiste visuelle canadienne, depuis sa petite enfance jusqu’à l’année 1944 où elle est lauréate de la distinction Oscar Blumenthal Award for Excellence décernée par Poetry (Chicago). Lettres inédites, photographies, poèmes et entrevues mettent en évidence qu’adolescente en 1934–1935, Page était exposée au modernisme anglais, particulièrement dans les arts et la littérature. Elle lisait Virginia Woolf et Katherine Mansfield dont les idées féministes et les préoccupations esthétiques éclairent l’évolution de certains de ses premiers poèmes et nouvelles et notamment, The Sun and the Moon. Plus tard, au début des années 1940, Page s’ex-prime dans des poèmes plus impersonnels en réponse au style objectif corrélatif de TS Eliot. L’influence de ses premières créations, en poésie et en prose, sur des auteurs plus jeunes comme Margaret Atwood est indiquée en bref.

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