Abstract

This paper deals with the critical response to Waste Heritage, Irene Baird’s 1939 novel about social unrest in western Canada. The paper argues that Waste Heritage is an example of a category of fiction which can loosely be called “the novel of engagement,” a category which is a dominant form of twentieth-century fiction, but which is also part of the mainstream of the western literary tradition. The paper goes on to argue that Waste Heritage has been ignored because of a “category mistake” in Canadian criticism which labelled such novels “social propaganda” and refused to consider them on their literary merits. The paper concludes with an analysis of those merits in Waste Heritage.

Abstract:

Cette étude fait le point sur la critique de Waste Heritage, roman publié en 1939 par Irene Baird, et qui a pour sujet le malaise social dans l’Ouest du Canada. On soutient que cet ouvrage est un exemple du ‘roman d’engagement’, genre qui tient une place capitale dans l’art romanesque du vingtième siècle, mais qui se trouve tout aussi nettement au sein de la tradition littéraire occidentale. On prétend en plus que ce livre a été largement négligé en raison d’une tendance vicieuse de la part de la critique canadienne à qualifier de ‘propagande sociale’ de tels romans, sans tenir aucun compte de leur valeur littéraire. C’est justement cet aspect-ci de Waste Heritage qu’ on analyse en dernier lieu.

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