Abstract

Canada’s national R&D effort has long been characterized by very strong federal presence and a much weaker performance on the part of industry. This fact has dominated the science policy debates of the last two decades, and has resulted in increasing pressures from federal scientific institutions to help meet the technological needs of Canadian industry. This paper examines the origins of these pressures and reviews some of the policy initiatives that have resulted. The paper further argues that the individual contributions which federal R&D programs can make are more limited than is generally believed, and that greater sensitivity to the various roles which are played by government laboratories will have to be reflected in science policy choices for the 1980s.

Abstract:

L’effort national de R&D du Canada se signale depuis longtemps par un apport fédéral fort solide et par une contribution nettement plus faible de la part de l’industrie. C’est ce fait qui a dominé les discussions de la politique des sciences au cours des deux dernières décennies et qui a poussé les organismes scientifiques fédéraux à faire cas urgent des besoins technologiques de l’industrie canadienne. Ce texte examine les raisons de cette urgence et rend compte des nouvelles politiques qui en ont découlé. On prétend en plus que les contributions particulières que peuvent réaliser des programmes fédéraux de R&D sont plus exiguës que l’on ne croit généralement, et que les initiatives de la politique des sciences durant cette décennie devront refléter une conscience approfondie des divers rôles joués par des laboratoires gouvernementaux.

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