Abstract

This article seeks deeper soundings in A.M. Klein’s psyche. It is based in part on Klein’s 1940s letters to the author, read in the light of Caplan’s recent biography of Klein. The article explores the poet’s obsession with James Joyce and his other extra-poetic activities — public relations, journalism, Zionist lectures, politics. The article suggests that beyond his struggle for a livelihood, A.M. Klein had a marked ambivalence towards his mother who was critical of his bookishness and his failure to adhere to the bourgeois side of life as well as his law practice. Klein’s plan to produce a gloss to all of Ulysses and his “transference” to Joyce are discussed in the light of their Judaeo-Catholic and Montreal-Dublin affinities.

Abstract:

Le présent article vise à pénétrer plus profondément la psyché de A.M. Klein. S’appuyant en partie sur les lettres que Klein lui adressa dans les années quarante, revues à la lumière de la biographie que Caplan a consacrée récemment à Klein, l’auteur étudie l’obsession de James Joyce dont témoignait le poète ainsi que ses autres occupations extra-poétiques — les relations publiques, le journalisme, les conférences sionistes et la politique. L’auteur soutient que Klein, outre la lutte pour gagner sa vie, ressentait une forte ambivalence pour sa mère qui censurait sa tendance livresque et son apathie à l’égard de la vie bourgeoise et sa carrière juridique. Il traite enfin du plan de Klein pour annoter tout le texte de Ulysses et de son “transfert” á Joyce dans le contexte des affinités qui relèvent de leurs origines et de leurs cultures respectives.

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