Abstract

In the late nineteenth century, the Canadian medical profession became concerned about the increasing problem of nervous disorders. Of special interest was the link physicians made between hysteria, and to a lesser degree insanity, and gender. By examining that link we can get closer to nineteenth-century perceptions of women and evaluate the strength of biological determinism. Instead of comparing ill women to healthy women, physicians compared them to healthy men. Thus the image of woman as the weaker sex was reinforced.

Abstract:

Vers la fin du dix-neuvième siècle, le corps médical canadien est devenu inquiet du problème croissant de troubles nerveux. Ce qui était particulièrement intéressant c’était la relation qu’ont faite des médecins entre l’hystérie, et à un degré inférieur la folie, et le sexe. C’est en examinant cette relation que nous pouvons aborder les impressions de femmes au dix-neuvième siècle et évaluer la force du déterminisme biologique. Au lieu de comparer des femmes malades à des femmes saines, les médecins les ont comparées à des hommes sains. Ainsi la notion de la femme comme le sexe plus faible fut renforcée.

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