Abstract

In spite of the current interest in scandal-mongering, the record of corporate contributions to political parties has not been studied for the light it might shed on the practice of patronage in the federal government. The article looks, first of all, at the big donors and the contracts they received; secondly, it examines the big contracts and what those companies contributed to the parties. The conclusion is that, although a number of firms substantially favour one party over the other, the evidence for a connection between donations and the actual awarding of contracts is not dramatic.

Abstract:

Malgré le vif intérêt soulevé par les scandales récentes, on n’a pas encore étudié les dons des grandes corporations aux caisses électorales afin de déterminer s’il y a lien avec le patronage fédéral. Le texte examine d’abord les compagnies les plus généreuses et les contrats qu’elles ont reçus: ensuite il relie les contrats les plus importants aux dons provenant des firmes qui les ont obtenus. L’auteur conclue qu’en dépit du fait que de nombreuses firmes sont nettement plus généreuses envers l’un ou l’autre des partis, on peut difficilement parler d’un lien significatif entre les dons électoraux et les contrats fédéraux.

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