Abstract

The paper argues that hierarehies should not be conceived as command systems, but as exchange networks based on trust. The exchange is regulated by internal and external competition. When competition is strong, the payments (patronage) reflect the resource cost of network services; when it is weak, excess-resources will be available for the pursuit of personal, not-basic-to-the-organization, objectives. Some of these may be identified as corrupt. If subordinates control the excess-resources, whatever way they dispose of them will be labelled corruption. To prevent this kind of corruption superiors can dislocate the networks of subordinates. It follows that corruption is partly a matter of structure and partly the result of voluntary decisions.

Abstract:

Le texte suggère qu’on ne doit pas concevoir les hiérarchies comme des systèmes d’autorité, mais plutôt comme des réseaux d’échange basés sur la confiance mutuelle. L’échange est réglée par la concurrence qui est à la fois interne et externe. Lorsque la concurrence est forte, les paiements (le patronage) reflètent le coût des services au sein des réseaux; lorsqu’elle est faible un surplus devient disponible qui sera utilisé pour fins personnelles autres que celles de l’organisation ellemême. Certaines de ces fins sont souvent vues comme réflétant la corruption. Si le surplus est sous le control des subalternes on parlera toujours de corruption sans égard à la façon dont on s’en sert. Afin de prévenir ce genre de corruption les supérieurs peuvent disloquer les réseaux de subordonnés. Il s’ensuit que la corruption est partiellement affaire de structure, partiellement la conséquence de décisions volontaires.

pdf

Share