Abstract

Science has been a major, but overlooked, influence on the animal stories of Charles G. D. Roberts. It shaped the form of the stories, dictated much of their content, and allowed Roberts to present his stories of animals thinking and reasoning not as fables but as realistic fiction. His work is not a revolt against Darwinian determinism but a synthesis of the science with older Romantic conceptions to make an emotionally satisfying and scientifically correct vision of nature and man’s place in it. This is most evident in the contrast Roberts drew between man’s abilities and emotions as an animal on the one hand, and his higher faculties and the world he has created outside nature on the other. The stories must be seen not just as Canadian literature but as part of Western societies’ attempts to come to terms with the world of Darwinian nature.

Abstract:

Les sciences ont eu une influence capitale, mais négligée, pour ce qui est des histoires de Charles G. D. Roberts sur les animaux. Elles réglaient la forme des histoires, inspiraient beaucoup de leur contenu et permettaient à Roberts de présenter ses histoires sur la pensée et le raisonnement des animaux non pas comme des fables mais comme la fiction réaliste. Son oeuvre n’est pas une révolte contre le déterminisme de Darwin mais c’est une synthèse de la science qui a des conceptions romanesques plus vieilles qui ont pour but de créer une vision juste de la nature et de la place que l’homme a là-dedans. Cela se montre le plus clairement dans le contraste que Roberts a établi entre les capacités et les émotions de l’homme comme un animal d’une part et d’autre part ses facultés supérieures et le monde qu’il a créé en dehors de la nature. On ne devrait pas voir les histoires tout simplement comme de la littérature canadienne mais comme une partie des tentatives de la part des sociétés de l’ouest de s’accorder avec le monde du caractère de Darwin.

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