Abstract

In The Edible Woman, Margaret Atwood uses techniques of nonsense writing similar to those employed by Lewis Carroll, and alludes to events and characters in the Alice stories, implicitly comparing them with situations and people in Marian McAlpin’s life. She indicates the nonsensical and destructive nature of the traditional female role and traces Marian’s journey to freedom from it. This comes when, like Carroll’s Alice, Marian breaks out of the expected social pattern. Thus Atwood’s use of nonsense, like Carroll’s, makes an ironic comment on the oppressive nature of contemporary society.

Abstract:

Margaret Atwood, dans The Edible Woman, emploie des techniques d’écriture absurde semblables à celles de Carroll et fait allusion à des événements et à des personnages dans les histoires d’Alice, les comparant implicitement à des situations et à des personnes dans la vie de Marian McAlpin. Elle signale la nature absurde et destructrice du rôle féminin traditionnel et suit le passage de Marian que s’en libère progressivement. Cela arrive au moment où Marian, comme Alice de Carroll, s’échappe du cadre des moeurs sociales attendues. Il s’ensuit que l’emploi de l’absurde d’Atwood, tout comme celui de Carroll, offre un commentaire ironique sur la nature oppressive de la société contemporaine.

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