Abstract

This rejoinder challenges Keith Archer’s claim that the National Election Studies may be used to “predict behaviour.” It calls for more modesty and circumspection and less pretension in fonnulating “explanations” of Canadian voting behaviour based on demonstrably questionable survey reports. It pleads for more critical analyses of the NES rather than for the abandonment of surveys. Some historical evidence is offered to demonstrate the remarkable stability, rather than alleged volatility, of voters in specific ridings and provinces.

Abstract:

Cette replique conteste l’affinnation de Keith Archer qui prétend que les Etudes sur les élections fédérales canadiennes servent à ‘prédire le comportement.’ Elle demande qu’on soit plus modeste, plus avisé et moins prétentieux lorsqu’on formule des ‘explications’ du comportement des électeurs canadiens basées sur des enquêtes dont la validité discutable est facilement démontrable. Elle recommande des analyses plus critiques des Etudes sur les élections fédérales plutôt que l’abandon des enquêtes memês. Des preuves historiques révéleraient la stabilité remarquable du comportement des électeurs dans certaines circonscriptions et provinces plutôt que la volatilité prétendue.

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