Abstract

This essay examines recent contributions by Canadian historians, as a group rather than as individuals, to non-Canadian intellectual and cultural history. Calendar entries for twenty-three Canadian history departments provide a snapshot of course offerings; a critique of one model of introductory intellectual history course is also offered. A survey of thesis topics shows that intellectual history, having failed to expand with other forms of history during the 1960s and early 1970s, has weathered the decline of these topics in the face of a collapsing job market. Finally, information published by granting agencies such as SSHRC is used to illustrate the fortune of intellectual historians as they compete for research funds.

Abstract:

Cet essai examine les contributions récentes d’historiens canadiens en tant que groupe plutôt qu’individus à l’histoire intellectuelle et culturelle non-canadienne. Les guides de l’étudiant émis par vingttrois sections d’histoire d’universités canadiennes fournissent un instantané des cours offerts. L’essai offre également la critique du modèle d’un cours d’introduction à l’histoire culturelle. Une revue de sujets de thèse révèle le fait que l’histoire intellectuelle, n’ayant pas partagé l’essor d’autres formes d’histoire pendant les années soixante et le début des années soixante-dix a réchappé quand même au déclin de ces disciplines devant la perspective d’une chu te de débouchés professionnel s disponibles. Pour terminer, des données émises par des organismes subventionnaires tels que CRSHC servent à illustrer le sort d’historiens intellectuels dans les concours de subventions de recherches.

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