Abstract

The town of Alexandria, like many other small towns, has become increasingly integrated into national economic and social networks. In some respects it has benefited from a more diversified local industrial base, while at the same time experiencing more of the kinds of social divisions (e.g., class and linguistic) that are characteristic of larger centres, and remaining entirely dependent on political and economic decisions made elsewhere. Local politics seem least changed, still governed by a merchant-like mentality which downplays conflict and limits government intervention. Issues of genuine significance rarely emerge and voices challenging traditional values are rarely heard.

Abstract:

La ville d’Alexandria, comme beaucoup d’autres petites villes, s’intègre de plus en plus aux réseaux économique et social nationaux. Tout en profitant, à certains égards, d’une base industrielle locale plus diversifiée, elle ressent davantage les barrières sociales (celles, par exemple, de classe et de langue) caractéristiques de centres plus importants et continue de dépendre complètement de décisions politiques et économiques prises ailleurs. La politique municipale paraît la moins changée, toujours dirigée par l’attitude du marchand laquelle fuit le conflit et limite l’intervention du gouvernement. Il se soulève rarement des problèmes de grande portée et on entend rarement des voix qui mettent en question les valeurs traditionnelles.

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