Abstract

In the early twentieth century Canadian firms radically altered the manner in which they acquired, processed, and applied technical knowledge. Firms hired increasing numbers of scientists and engineers, began to produce new technical knowledge in-house, and recognized the advantages of free exchange of knowledge with other firms and institutions. The context of the new approach to handling technical knowledge is discussed, looking in particular at the institutions of knowledge and the degree to which specifically Canadian features of this topic may be discerned. Finally, the implications of this study for the wider understanding of the history of science and industry in Canada are discussed.

Abstract:

Au début du vingtième siècle les maisons de commerce canadiennes modifièrent radicalement la façon dont elles acquéraient les connaissances techniques, les traitaient et les appliquaient. Les maisons embauchaient un nombre croissant de scientifiques et d’ingénieurs, se mettaient à générer indépendamment des connaissances techniques nouvelles et reconnaissaient les avantages d’un libre-échange de connaissances avec d’autres maisons et institutions. On situe dans cet article cette approche nouvelle de l’intégration des connaissances techniques pour examiner ensuite les institutions d’enseignement supérieur pour signaler enfin à quel point on peut identifier dans cette question des traits spécifiquement canadiens. Pour terminer, on discute la portée de cette étude sur une compréhension plus large de l’histoire de la science et de l’industrie au Canada.

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