Abstract

Through a discussion of the appointment and work of Lottie Bowron as Rural Teachers’ Welfare Officer in British Columbia from 1928 to 1934, this article examines the situation of female teachers in the province at the time, particularly in rural areas. Factors such as isolation, loneliness, poor accommodation, inadequate schoolrooms, insufficient supplies, and interfering school trustees all contributed to a challenging work and life situation for young women, often fresh out of normal school in Vancouver or Victoria, Despite the material difficulties presented in rural B.C., many female teachers thrived on the independence and modest social status afforded them. The article contributes to our knowledge of rural life in B.C. as well as to the history of women teachers.

Abstract:

C’est en traitant de la nomination de Lottie Bowron à un poste d’assistante sociale aux instituteurs d’écoles rurales en Colombie-Britannique depuis 1928 jusqu’en 1934 et de la fonction qu’elle y exerçait que cet article examine la situation des institutrices de la province à cette époque, surtout de celles des régions rurales. L’isolement, la solitude, un logement inadéquat, un matériel insuffisant et un conseil d’administration qui se mêlait de ce qui ne le regardait pas, tous ces facteurs contribuaient à faire du travail et de la situation quotidienne une véritable gageure pour ces jeunes femmes souvent à peine sorties de l’école normale de Vancouver ou de Victoria. Malgré les difficultés matérielles de la Colombie-Britannique rurale, bien des institutrices trouvaient à leur goût l’indépendance et le peu de statut social que leur offrait cette vie. Cet article enrichit nos connaissances et de la vie rurale en Colombie-Britannique et de l’histoire des institutrices.

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