Abstract

Until recently there has been a striking reluctance, in writing the history of women in English Canada, to make their experience in the realm of religion a central focus of study. To the extent that the subject has been taken up, it has primarily been from the perspective of its significance for feminism and other social reforms. While work on these aspects will remain vitally important, the historical study of women and religion needs to pay more attention to matters of theology and personal spirituality. It also needs to broaden its range to include women who are not middle-class Protestants.

Abstract:

Jusqu’aux années récentes on constate une réticence marquée, dans la rédaction de l’histoire des femmes du Canada anglophone, de centrer l’étude de celles-ci sur leur expérience dans le domaine de la religion. Si, en fait, on a abordé la question, c’est plutôt de la perspective de sa contribution au feminisme et à d’autres réformes sociales. Tout indispensables que soient ces recherches sur la femme et la religion, il faudrait qu’on se penche davantage sur des questions théologiques et la spiritualité personnelle. On ferait mieux, également, d’élargir le champ des études pour y inclure les femmes protestantes qui ne proviennent pas de la classe moyenne.

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