Abstract

In these works about Ezra Pound, Timothy Findley engages the disturbing legacy of this modernist predecessor, whose fascist sympathies have not precluded praise by the academy. The majority continue to separate Pound’s poetry from his politics, the art from the man. Findley’s works, I argue, encourage us to remove this cordon sanitaire around Pound. Through several framing techniques, Findley validates opposing points of view. He encourages readers to understand the subtle psychological realities that inform Pound’s reputation, to question the basis of his primacy and to reconnect aesthetic with ethical values.

Abstract:

Dans ces travaux sur Ezra Pound, Timothy Findley engage le legs perturbant de ce prédécesseur moderniste, dont les sympathies fascisantes n’ont pas empêché les louanges du monde académique. La majorité des critiques continue à séparer la poésie de Pound de sa politique, l’art de l’homme. Les écrits de Findley, d’après moi, nous encourage à éliminer ce cordon sanitaire autour de Pound. À l’aide de techniques de cadrage, Findley rend valide des points de vue opposants. Il encourage les lectrices et lecteurs à saisir les réalités psychologiques subtiles qui nourrissent la réputation de Pound, afin de questionner la base de sa prédominance et de rétablir le lien entre l’ésthétisme et les valeurs éthiques.

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