Abstract

Almost 50 years after her death, scholars disagree quite markedly on the meaning and significance of Nellie McClung’s legacy. Responses to her beliefs and writing range from reverence to opprobrium. In contending that the starkly contrasting assessments of McClung indicate something of a crisis for feminist scholars, I argue that literary critics and social historians need to move beyond the entrenched polarities that currently structure much academic discussion of her work. Focussing on McClung’s references to “mothering the race,” I suggest that scholars in History and English might borrow from one another’s disciplines to investigate the relationships between the radical and reactionary elements in McClung’s vision.

Abstract:

Presque cinquante ans après la mort de Nellie McClung, les chercheurs sont dans l’incapacité de se mettre en accord sur la signification de son legs. Les réponses à ses croyances et ses écritures s’étendent du respect à l’opprobre. En prétendant que les évaluations de McClung sont annonciatrices d’une crise pour les féministes du monde académiques, je crois que les critiques littéraires et les historiens sociaux doivent se placer au delà des polarités indélogeables qui structurent actuellement les discussions académiques au sujet de McClung. En mettant l’emphase sur des références faites par McClung concernant « l’enfantement à la race », je propose que les uns et les autres puissent faire un emprunt à la discipline de l’autre afin d’étudier les rapports entre les éléments radicaux et réactionnaires dans la vision de McClung.

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