Abstract

Harold Innis, Canada’s pre-eminent social scientist in the inter-war period, developed a northern vision for Canada in the 1920s. Through field research and study of communications, the fur trade and mineral production, he developed an understanding of the North as an industrial frontier and as a binding agent for national unity. This paper examines Innis’s engagement with an imagined North by assessing the various cultural and intellectual impulses that focussed his attention on the region. It re-reads his fieldnotes as cultural texts inscribing a gendered and racialized North, and considers his portrayal of the region to southern audiences.

Abstract:

Harold Innis, Ie sociologue prépondérant du Canada dans la période d’inter-guerre, développée une vision nordique pour le Canada dans les 1920s. Par la recherche de zone et l’étude des transmissions, de la production commerciale et minérale de la fourrure, il a développé une compréhension du nord comme frontière industrielle et comme lieur pour l’unité nationale. Cet article examine l’enclenchement d’Innis avec un nord imaginé en évaluant les diverses impulsions culturelles et intellectuelles qui ont concentré son attention sur la région. Il relit ses notes de zone comme les textes culturels inscrivant a « gendered » et « racialized » le nord, et considère sa représentation de la région aux assistances méridionales.

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