Abstract

Abstract:

The paper examines the historical role of the CCF/NDP in the making of federal Aboriginal policy in Canada. It commences with an examination of the importance of the CCF/NDP role in influencing federal policy. This is followed by a critical examination of the prevailing atti­tudes and values held by the party’s founders – including its first leader – J.S. Woodsworth. It examines significant changes subsequently made to the Indian Act, culminating with the legislation of 1951, the party’s response to the 1969 white paper, revisions to the Canada Act (1982) and subsequent attempts at amendment – the failed Meech Lake Accord (1987) and the Charlottetown Accord of 1992.

The party’s position on key issues affecting Aboriginal peoples has often been contra­dictory and, particularly in the case of deliberations about the Canada Act (1981) have created rifts within caucus. What emerges, however, is evidence that the party, despite not always adopting the most progressive stance with respect to Aboriginal aspirations, has, con­sistent with its populist roots, been willing to listen and to modify its position in accord with the emerging demands of Aboriginal peoples. The details of this process reveal the roles of populist leanings and ideological principles in shaping party policy.

Abstract:

Cette étude examine le rôle historique de la FCC/NPD dans la formation de la politique candienne fédérale sur les Autochtones. Cette recherche commence à partir de l’examen de l’importance du rôle de la FCC/NPD. Cette section est suivie d’un examen critique des atti­tudes et valeurs prédominantes des fondateurs du parti – y compris de son premier chef, J.S. Woodsworth. L’étude examine les changements significatifs apportés à la Loi sur les Indiens, en particulier la legislation de 1951, la réponse du parti au livre blanc de 1969, les révisions de la Loi de 1982 sur le Canada et les tentatives suivantes d’amendements – l’échec de l’Accord Meech (1987) et l’Accord de Charlottetown de 1992.

La position du parti sur des questions de base touchant aux peuples autochtones a sou­vent été contradictoire, particulièrement lors des délibérations portant sur la Loi de 1982 sur le Canada, et a créé des fissures à l’intérieur du caucus. Cependant, cette analyse met en évi­dence un parti, qui même s’il n’adopte pas toujours la position la plus progressive vis-àvis des aspirations autochtones, est demeuré fidèle à ses origines populistes, et a accepté d’écouter et de modifier sa position en accord avec les demandes émergeantes des peuples autochtones. Les détails de ce processus révèlent les rôles des tendances populistes et des principes idéologiques dans la formation des politiques du parti.

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