Abstract

Abstract:

To what extent, if any, can art provide us with a way of thinking outside of the creditor-debtor relationship? This article looks to William Faulkner's Absalom, Absalom! (1936) for an answer. I demonstrate, through a reading of the novel's anonymous lawyer, the extent to which the economic logic of the ledger (as a figure for the creditor-debtor relationship) penetrates the novel and its logic of storytelling. The article then goes on to examine, via an analysis of the novel's ending, two "remainders"—two elements that cannot be integrated into this economic logic. Finally, I draw on Judith Butler's work to suggest that Absalom, Absalom! does gesture toward a form of relationality outside of the economic terms of debit and credit, seen in Miss Coldfield's initial framing of her tale and in Butler's idea of "dependency."

Résumé:

Dans quelle mesure l'art nous fournitil, à supposer qu'il le fasse, une façon de réfléchir autrement que dans les bornes de la relation entre créditeur et débiteur? Dans cet article, je cherche une réponse du côté à'Absalom, Absalom !, le roman de William Faulkner (1936). Une certaine approche du personnage de l'avocat anonyme me permet d'illustrer la mesure dans laquelle la logique économique du grand livre (en tant que figure de la relation créditeur-débiteur) imprègne ce roman et sa logique narrative. Une analyse de la fin du roman est l'occasion, ensuite, d'étudier deux « reliquats »—deux éléments qui ne trouvent pas leur place dans cette logique comptable. Enfin, dans l'esprit des travaux de Judith Butler, je suggère qu'Absalom, Absalom ! propose une forme de relationnalité qui, en dehors de l'économie contractuelle de la dette, est visible dans le récit-cadre de Miss Coldfield et dans l'idée de « dépendance » développée par J. Butler.

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