Abstract

Devenant malade, Hervé Guibert continue de textualiser son corps. Sa déliquescence est aussi celle du texte, qui se fragmente quand le corps ne sera bientôt plus qu’un corpus. De la transparence, maître-mot de son œuvre avant le SIDA, l’écriture passe à un mode transfusionnel, où le corps du lecteur entre en jeu.

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