Abstract

This article contains a discussion of the idea, planning and execution of eighteen monumental sculptures along the Anillo Periférico, on both sides of the Olympic Village for the XIXth Olympiad at Mexico City in 1968. This part of the Periférico is called the ‘Route of Friendship’. A report is also made on the organization of the International Meeting of Sculptors held in Mexico City on 17 June 1968.

The author, who was in charge of both projects, outlines his original conceptions and how they gradually were changed by various circumstances. He discusses the positive aspects of the finally achieved ‘Route’ and, with open frankness, the errors that he believes were made at various stages of the venture.

He concludes by reaffirming his conviction that the ‘Route’ demonstrates the necessity for team work on large, complex projects of an artistic character and that it is feasible, even when several artists are members of the team. He hopes his report on the experience gained will be of use to those who undertake a similarly ambitious program.

He dedicates his article to the memory of Otto Freundlich, who, in 1936, envisioned a project in Europe along the lines of the ‘Route of Friendship’.

Cet article décrit la discussion de l’idée qui présida à l’exécution et à l’érection de dix-huit sculptures monumentales, le long du Anillo Periférico, des deux côtés du village Olympique, pour la dix-neuvième Olympiade à Mexico en 1968. Cette partie du Periférico est appelé la ‘Route de l’Amitié’. L’article contient également un rapport sur l’organisation de la Conférence Internationale des Sculpteurs qui s’est tenue à Mexico, le 17 juin 1968.

L’auteur, qui avait la responsabilité des deux programmes, expose ici ses conceptions personnelles et leur transformation progressive sous la pression de diverses circonstances. Il discute des aspects positifs de la ‘Route’ finalement réalisée, et avec une totale franchise, des erreurs qui furent faites, selon lui aux diverses étapes de l’aventure.

Il conclut en réaffirmant sa conviction que la ‘Route’ démontre la nécessité d’un travail d’équipe pour le réalisation de projets importants et complexes de caractère artistique, et que ceci est faisable même lorsque plusieurs artistes font partie de l’équipe. Il espère que le témoignage de l’expérience qu’il a acquise sera utile à ceux qui entreprendront un projet analogue dans son ambition.

Il dédie son article à la mémoire d’Otto Freundlich, qui, en 1936, envisagea en Europe un projet similaire à celui de la ‘Route de l’Amitié’.

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